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Comprendre certaines choses de la vie pour s'épanouir !

Le 03/11/2019

Une vie sans innovation est une vie dépourvue de sens. C’est ainsi que la majorité des personnes qui conçoivent leur existence. Plein de rebondissements, d’idées nouvelles dans tous les domaines. C’est en tout cas l’idéal pour tout le monde. Dans le fond, l’idée de vivre la même chose tous les jours c’est souvent vers ça qu’on court tous. Qui n’aimerait pas se marier, avoir une seule partenaire, faire l’amour avec la même femme, retrouver son peignoir toujours au même endroit et j’en passe. Pendant un bon moment on se dit tous que c’est l’idéal, jusqu’à ce que tout ça nous arrive et qu’on se rende vite compte que tout ça devient vite monotone.

Sans savoir comment, les idées d’ailleurs, les envies d’autres choses, les envies d’une autre façon de faire les choses, les envies d’autres pratiques sexuelles que celles pratiquées avant nous traversent peu à peu l’esprit. Commence alors un long bras de fer dans ta tête entre l’idée de se contenter des acquis, de rester fidèle et conforme à la norme, ou encore, se permettre de vivre de temps en temps autre chose pour explorer d’autres univers. Pour ma part, la seconde option me convient la mieux.

La fidélité aux choses, la fidélité aux principes ou encore la fidélité en amour, sont des choses que je prône pour être conforme, mais dans la pratique, je suis bien loin de tout ça. Je ne pense pas être le seul dans ce cas. Je pense même que le pourcentage des personnes qui penses tout le temps à changer leur façon de faire ou de voir le temps d’un plaisir est bien plus élevé que ceux qui restent fidèles à tous ces principes et habitudes de bases.

L’inconnu nous attire !

Je ne vois aucun intérêt dans la vie à être conformiste en tout et pour tout, je pense sincèrement que c’est une approche biaisé de la vie. Vivre selon les normes c’est être sûr de passer une existence sur terre pauvre en adrénaline, pauvre en intensité, pauvre en expérience et même pauvre en accomplissement de vos fantasmes. Je pense sincèrement que chacun devrait vivre sa vie de façon à combler le maximum de ses fantasmes, même si ça nécessite de sortir un peu des normes.

Quand je parle de normes, je ne dis pas ici d’enfreindre la loi, ou de privé une personne de ses droit. Ici, les normes sont tout simplement tous ces petites interdits érigés en normes pour être considérés par les majorités des sociétés comme personne normal. Des interdits qui en réalité ne les sont que pour des conservateurs qui ne peuvent accepter des principes comme : le libertinage, la bisexualité, le nudisme, le sadomasochisme, le candaulisme, le gothisme et bien d’autres concepts. Moi je suis ouvert dans ma tête et je pense que tout le monde devrait être ainsi, car je suis convaincu que chacun de nous à un coté curieux caché en lui qui le pousse naturellement à aller vers l’inconnu. Lutter contre ce genre de pulsions c’est en quelque sort se renier, car l’être humain est curieux et naturellement orienté vers l’inconnu.

Ma petite amie avait trop de tabous !

Longtemps, j’ai toujours hésiter de prendre ma petite amie par derrière, très religieuse, la sodomie était quelques chose de sadique et de monstrueux pour elle. Hors mis l’aspect satanique selon elle de cette pratique, elle se disait qu’on ne pouvait éprouver aucun plaisir à se faire prendre par derrière. Le sexe anal n’était sûrement que douloureux et dégradant selon elle.

Je ne savais même pas comment aborder ce sujet avec elle sans la frustrer. Pourtant, quelque chose en moi était convaincu, très religieuse, venant d’une famille croyante et très pratiquant, elle avait un coté cochonne en elle. Quand on faisait l’amour et qu’elle perdait peu à peu le contrôle, ce côté ressurgissait brusquement pendant quelques secondes avant qu’elle reprenne le contrôle. Moi, c’est cette cochonne que je voulais voir, je voulais qu’elle soit elle-même, folle au lit, cochonne à outrance, sans tabou, libre et complètement dévouée à ses fantasmes même le plus insoupçonnés. Quand on est pas libre, sans tabou et ouvert aux nouvelles expériences en amour, je crois que c’est comme vivre sa vie à moitié.

Pour moi qui accorde au sexe autant d’importance, avoir une partenaire qui se contente de coucher et me laisser son vagin à pilonner, c’est quelque chose d’inacceptable, une façon très pauvre et monotone de vivre sa vie sexuelle et ça ne pouvait continuer ainsi. J’ai dû user un peu de pédagogie, de menace aussi. J’avais pas le choix si je voulais être épanoui sexuellement et par la même occasion aider ma petite amie à se découvrir elle-même, à oublier un peu les normes établies non pas par elle, mais par ses parents, la religion et son environnement. Il fallait qu’elle puisse se renier un moment pour établir ces propres normes, pas celles de ces parents, pas celles imposer par sa religion ou son entourage.

Pour la pousser dans ces retranchements, j’ai dû la menacer aussi de la qualité, sachant qu’elle était très amoureuse de moi, je savais qu’elle allait un peu se bouger, au moins une seule fois pour se plier à mes désirs. C’était donc à moi d’assurer, à moi de lui faire regretter les années perdues, les années gâchées à vivre avec plein de tabou. Le sexe n’était qu’un début, car j’étais persuader, que si je pouvais faire évoluer un peu ces codes sexuels, tout le reste suivrai. Elle n’aimait pas la sodomie, elle n’aimait pas aller en boite, elle se sentait très mal au milieu de mes amis, et encore je ne parle même pas de concepts comme la partouze ou le gang bang. Des concepts qui moi m’excitent et m’attirent, il était donc temps.

Le jour où j’ai enculé ma petite amie !

J’ai finalement réussi à convaincre ma petite amie à se laisser pénétrer par le cul. Tout ça grâce un site internet qui montre des femmes qui ont une première sodomie douloureuse et dépucelage anal. Ce n’était pas facile, mais grâce à ce site qui est le meilleur de la vidéo sodomie douloureuse, elle a finit par dire oui de la tête, mais elle n'a pas voulu que je la sodomise le même jour. Il fallait la laisser mariner un peu dans ses pensés. J’étais sûr que toute la nuit elle y pensait, elle se faisait des scénarios, s’imaginait pleins de choses.

En quelque sorte, elle faisait un peu le boulot à ma place. Tout ce qui me restait à faire c’était de la rassurer le jour J, deux jours plus tard, au moment ou elle s’y attendait le moins. Rien d’extraordinaire pour commencer, un peu de préliminaires comme d’habitude car je sais qu’elle adore ça. Se faire caresser les cheveux, les seins et se faire sucer les lèvres pendant un bon moment. Tout ça la rassure. Au début je la sentais un peu rétissante, je savais très bien que cette raideur était dû au fait qu’elle était bien consciente que tout ça allait bien finir par une bonne sodomie douloureuse.

J’ai donc dû m’y prendre comme d’habitude, avant d’écarter ses cuisses pour lui lécher la chatte. Le cunnilingus, une vraie révolution dans notre couple, cette chose qui semble banal pour beaucoup de couple, était aussi un vrai tabou chez elle. J’ai dû m’y prendre à plusieurs fois avant qu’elle puisse accepter que je lui lèche le vagin. Tout ça pour vous faire comprendre qu’on vient de loin sexuellement. Depuis, elle adore ça, elle se cambre grave de plaisir quand je lui lèche le minou. J’ai utilisé cet argument pour la convaincre de se laisser enculer. « Chérie, si je ne t'avais pas convaincu, tu n’allais jamais savoir que tu adores te faire brouter le minou », même si elle ne m’a pas répondu, au fond elle savait que j’avais raison. Une fois sa chatte bien humide grâce à mon cunnilingus, mais aussi grâce au liquide séminale qu’elle libérait déjà abondamment, j’ai finis par y enfoncer ma queue dedans pour la baiser avec douceur. Puis, j’ai fini par la retourner pour lui faire l’amour en levrette.

Dans cette position, j’avais une superbe vue sur son anus, je pouvais alors commencer par le caresser et y introduire mon petit doigt pour la préparer psychologiquement. Au début, elle n’arrêtait pas de virer mon doigt, puis petit à petit, elle a finit par se laissé faire. C’est à ce moment là que j’ai complètement cessé de lui défoncer la chatte pour me concentrer sur son anus. Comme c’était une grande première pour elle, je ne pouvais la prendre sèchement, une sodomie sèche n’était pas envisageable. J’ai dû prendre mon temps pour lubrifier son fion, d’abord par mon très long anulingus en y injectant beaucoup de salive.

Puis, pour prendre aucun risque, j’ai couvert ma queue d’un lubrifiant que j’avais acheté à la pharmacie, le dépucelage anal pouvait enfin commencer. Au début de la pénétration anale, je sentais bien qu’elle avait un peu mal, elle me repoussait comme elle le pouvait, sans trop de force. Puis peu à peu, elle se laissait faire, son anus s’ouvre de plus en plus. La douleur commençait peu à peu à se nuancer avec le plaisir, puis le plaisir finit par prendre le dessus. La sodomie totale était alors lancée. Le comble, c’est qu’au bout de quelques minutes, elle commençait même à gémir. Elle prit tellement de plaisir pendant cette sodomie qu’elle était même déçu que je jouisse aussi vite. Depuis, elle adore la sodomie plus que tout, et cette expérience de bonne baise anale lui a ouvert l’esprit sur beaucoup de chose.

 

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